Observation sur l'effet clinique et la sécurité de la chirurgie laparoscopique dans le traitement du cancer de l'ovaire précoce
De janvier 2020 à janvier 2021, 80 patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire précoce ont été traitées et réparties entre le groupe de recherche (n=40, chirurgie laparoscopique) et le groupe de référence (n=40, laparotomie) selon différentes méthodes chirurgicales. Les deux groupes ont été comparés Perte de sang peropératoire, nombre de ganglions lymphatiques disséqués, temps d'épuisement postopératoire, durée d'hospitalisation, incidence des complications, taux de récidive et réponse au stress [hormone du cortex surrénalien (ATCH) et épinéphrine (AD), cortisol (Cor )], fonction immunitaire [antigène de différenciation leucocytaire (CD)3+, CD4+]. Résultats Par rapport au groupe de référence, le groupe d'étude présentait des pertes sanguines peropératoires plus faibles, un nombre plus élevé de ganglions lymphatiques disséqués, un temps d'épuisement postopératoire plus court et une durée d'hospitalisation plus courte (P<0,05) ; le groupe d'étude avait un taux de complications et un taux de récidive inférieurs à ceux du groupe de référence (P<0,05). <0,05); Il n'y avait pas de différence dans les indices ATCH, AD, Cor, CD3+ et CD4+ entre les deux groupes avant l'opération (P>0,05). Comparativement au groupe de référence après l'opération, les indices ATCH, AD et Cor du groupe d'étude étaient tous inférieurs et les indices CD3+ et CD4+ étaient tous supérieurs (P<0,05). Conclusion La chirurgie laparoscopique chez les patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire précoce peut augmenter de manière significative le nombre de ganglions lymphatiques disséqués, favoriser la récupération postopératoire dès que possible et avoir peu d'impact sur la réponse au stress et la fonction immunitaire des patientes, ce qui peut prévenir efficacement les complications et éviter les récidives postopératoires. .